Bonjour et Bienvenue!

Première Assistante caméra, je travaille sur les tournages aussi bien sur tout types de numérique qu'en argentique (35mm et 16mm). Je travail sur tout types de film fiction long métrage, commerciales publicitaire et musical, documentaire...

Je partagerai dans ce journal de bord mon expérience sur les tournages au jour le jour.


vendredi 6 août 2010

1er assistant caméra - en argentique / en numérique - les différences!?!

1ere assistante caméra sur de nombreux courts métrages, j'ai surtout travaillé sur des films en numériques. Or, une expérience récente de 1ere assistante caméra sur un film en super16 _ encore une fois sans 2e assistant caméra sur le tournage _ m'a amené à réfléchir sur ces petites différences.

Bien que le travail de l'assistant soit majoritairement identique (soin au bon fonctionnement de la caméra, de la propreté de l'ensemble: caméra-optique-accessoires, respect des qualités techniques des rushes, et du point..), nos attitudes de plateaux peuvent légèrement être adapter au support _ en plus de la seul spécificité de la vérification de la fenêtre et du chargement des magasins.
Puisque c'est aussi le 1er assistant caméra qui déclenche le moteur, c'est aussi lui qui est directement lié à la gestion de quantité de rushes. Ainsi, en argentique - et cela doit être particulièrement présent pour les courts métrages ou les films à petits budgets, c'est l'économie du temps de rushes inutiles (noir, clap, attente...). En effet, combien de fois en numérique on se permet de déclencher le moteur _ peut être à tort _ lorsqu'il est demandé par le 1er assistant réalisateur ou par le réalisateur lui même _ alors que l'on voit que l'ensemble des équipes techniques ne sont pas encore tout à fait prête! Mais puisque c'est dans l'ordre des choses, le moteur est lancé... et l'on capture alors dans les rushes du temps purement inutile (clap, maquilleur, pied de projo, perche...).
Ainsi, sur un film en pellicule _ étant aussi responsable de la gestions des rushes et du stock pellicule _ je retient le moment du moteur, en regardant du coin de l’œil si le chef op a fini ses réglages, si le son est opérationnel, si le maquillage est fini, les acteurs concentrés et l'équipe réalisation est bien derrière le moniteur de contrôle!

Une autre chose, la façon dont la netteté évolue à l'intérieur du cadre est différente suivant les support. Bien que ce point soit souvent à mon trop souvent négligé par la réalisation (cf post le choix du point) elle participe au discours de l'image. Ainsi, au delà même de la quantité de profondeur de champ avec laquelle on travail, le flou argentique vie différemment du flou numérique. C'est d'ailleurs une discussion que j'ai pu avoir en visionnant les rushes avec le chef op et le réalisateur sur mon dernier projet.
En effet, je vois le flou argentique plus graduel, c'est à dire que la profondeur de champ en argentique s'évanouit doucement d'une zone de netteté à un flou. Les détails semblent alors glisser d'un flou moyen à un flou plus franc. On pourrait alors associé ce glissement du net au flou à une notion d'espace qui migre, évolue et se transforme. Il reste le même espace mais se mute en une personnalité différente _ nous pourrions alors associé la profondeur de champ argentique à la personnification d'un point de vue complexe - c'est à dire à plusieurs facettes).
Alors que la profondeur de champ en numérique n'évolue pas du tout de la même manière. En effet, ce dernier aurai plutôt tendance à marquer une zone de netteté particulièrement précise _ renforcé par son aspect plus piqué. Il fait basculer l'image hors de la profondeur de champ dans un flou radical _ c'est à dire que la limite entre le net et le flou à tendance a être particulièrement brutale, délimitant ainsi une vrai frontière. Et cela donne un sens particulier à l'image! Ainsi, pour la réalisation, ce flou indiquerai davantage une sensation de deux univers distincts qui coexiste dans un même cadre _ cela peut alors signifier soit une dualité, une frontière, soit une différence de deux personnalités (donc presque faire coexister deux point de vue - celui de notre sujet: net / et celui extérieur à notre sujet: flou - dans un même espace qu'est le cadre).
J'ai à ce propos entendu parlé des raisons de ce décalage technique _ dont pour l'instant je n'arrivais pas à expliquer et donc dont je devais accepter les spécificités. Ce serai en fait le processeur des caméra à capteur numérique qui calculerai une profondeur de champ, d'où une zone d'hyper-netteté particulièrement piquée.

Enfin, contrairement au a priori que l'on peut avoir. J'ai trouvé que le cumul des rôles de 1er et 2e assistant caméra sur un film argentique est finalement plus léger qu'en numérique!
En effet, bien que la gestion des stocks de pellicules soit plus stressant - donc plus prenant à l'esprit - le temps apparti au chargement et déchargement des magasins est plus raisonnable.
ainsi, et bien que cela doit dépendre de ce que l'on attend du 2e assistant caméra, le temps des backup bien fait peut prendre beaucoup de temps. Cela est dû a plusieurs raisons.
Tout d'abord, nous avons souvent une quantité de rushes plus importante - on entend souvent "on tourne, on verra bien, de toute façon c'est du numérique, ça ne nous coûtera pas plus cher". Et à mon avis, c'est un tort! Il est en effet très rare de trouver de bonne prise (des prises montable) si tout les ingrédients minimum n'ont pas été réunis. Ce n'est donc ni un gain de temps sur le plateaux, mais c'est aussi une surcharge de temps pour les backup et aussi pour la post prod qui peut se voir avec une quantité de rushes monstrueuses (avec en plus un besoin de disque dur plus gros!).

De plus, si l'on prend le temps de vérifier les back up en faisant une lecture rapide des rushes _ ce qui permet entre autre à la fois de s'assurer qu'ils ont bien étaient transférés, que le point est bon, qu'il n'y a pas eu de problème technique visible, et aussi de pouvoir rapporter au chef opérateur ce qu'on a vu (par exemple, une couleur de lumière ou une teinte de visage surprenante, des zones surexposées ou sous exposées, du bruit dans l'image...).
A ce temps ajouté après la journée de tournage, c'est souvent aussi du temps de sommeil en moins. Ainsi, il me semble que nous soyons dans une attitude incohérente vis à vis de certaines productions qui pensent que c'est parce que c'est du numérique il n'y plus besoin de 2e assistant caméra!!!
De plus, il faut rappeler, que les caractéristiques de la profondeur de champ en numérique - plus piqué - et qui bascule du net au flou sans demi mesure, rend le travail du pointeur d'autant plus exigeant.

lundi 3 mai 2010

le H264

codec que l'on retrouve sur les canon 5D et 7D, ainsi que sur le Sony XDcam EX.
petit rapel: H 264 = +/-35 Mb/s (pour une vidéo en 1920 x 1080, 29.97 fps)
Une compensation de mouvement pondérée par des poids et des décalages permettant à un codeur de construire des prédictions s'adaptant au changement de luminance et de chrominance de la scène courante. Une précision au quart de pixel pour la compensation de mouvement, permettant une description très précise du déplacement des zones en mouvement. Pour la chrominance, la précision de la compensation de mouvement se fait même au huitième de pixel.
l'avis est que l'on ne peut pas gagner sur tous les terrains mais ce que l'on gagne en qualité d'image due au capteur et aux optiques, on le perd en souplesse de post-production. Cela signifie qu'il faut être plus rigoureux au tournage.

Le H264 te permet de travailler le look de ton image, pas de rattraper des erreurs d'exposition ou de suppléer a un trop grand écart de contraste.

le codec avec notamment des compressions visibles en basse lumière, des problèmes de "moiré" sur détails fins (bien que non liés au codec lui-même, mais au ré-échantillonnage du nombre de pixels pour une sortie 1080).

Tourner avec le CANON 5D markII

Pour le tournage d'une fiction, la production à choisi de filmer en canon 5D mark II. Ce choix s'est fait pour une part importante de coût réduit de production. Mais ce choix contribué à donner une esthétique particulière au film.
Budget réduit et équipe réduite, nous n'étions que deux à l'image (le chef op et moi même en assistante caméra).

Ce boîtier à le vent en poupe! en effet, il bénéficie d'un grand capteur (supérieur au 35mm) où l'on put adapter des optiques cinéma au moyen d'un adaptateur, et pour un coût très réduit. Mais ces atouts alléchant n'en doivent pas faire oublier des compromis à accepter.

avantages du 5D markII:
capteur : 35,8 x 23,9 mm (12,8 millions de pixels)
haute sensibilité
capacité d'enregistrement léger: 40 minutes sur une carte de 16Go
boîtier tropicalisé

compromis:
capteur CMOS
codec de compression H264 (moins de reprise à l'étalonnage
durée maximum d'un clip: 4Go soit 14min environ (en raison du formatage Fat 32)
saturation des couleurs
phénomène de "moiré"
"drop frames" (en particulier autour de 3200 iso et au-delà) si cartes avec un taux de transfert réduit
accessoirisation pas toujours bien adapté à la fiction cinéma
perd son HD en sortie hdmi en mode rec (modifié sur le 7D)

améliorations apportées:
firmware 25i
firmware en 24 et 25P
enregistrement en PAL
il serait possible dans un cas de figure de lumière compliquées de créer une courbe sur mesure à l'aide d'une photo en RAW, dont on retouche la pente et que l'on ré-injecte dans l'appareil avant de filmer
on pourrait aussi maintenant passer en pro res 4 4 4 ce qui optimise l'espace de travail colorimétrique

conseils recueillis:
faire des choix a la prise de vue : température de couleur, sensibilitée... diminuent d'autant le poids des fichiers à qualité égale.
réduit le contraste au maximum, je réduit aussi le détail à une valeur moyenne et active le "highlight priority".
Si on utilise FCP en post-prod, il est fortement recommandé de passer en prores 4444 ou à défaut prores HQ 422. On n'améliore pas le codec d'origine, mais il n'y a plus de pertes liées au codec en étalonnage. Un peu décevant toutefois en étalonnage , moins de marge qu'avec une source XDCAM 800, à titre d'exemple (même constat par rapport à une XDCAM EX, cette fois).
Si l'on utilise le 5D/7D sur du long métrage il vaut mieux encoder une version basse qualité pour le montage offline et une version DPX pour la conformation et l'étalonnage.

samedi 13 mars 2010

Tourner dans la neige et le froid

Première assistante sur un court métrage, nous devons tourner avec une Varicam + pro35 + zeissGO. Le tournage est prévu en haute Savoie, les pieds dans la neige et quelques séquences à la tombé de la nuit (voir la nuit).
Pour préparer au mieux ce tournage dans des conditions spéciales, je prend conseil auprès d'autres assistants caméra et équipe de tournage.
Les premiers me préviennent que se sont les conditions les plus difficiles de tournage: l'humidité et le froid.

Puis vient les conseils:
Veiller au froid: de soi mais aussi du matériel,
Gestion spécifique des batteries (qui gèrent très mal le froid - donc une durée d'énergie limitée); pour limiter l'impact du froid, je prévois donc une glacière spécifique pour les batteries où j'ajoute des chaufferettes dans une chaussette.
Pour le corps caméra, on me conseil une housse polaire du fabricant. mais l'école à qui appartient la caméra n'en possède pas. ma solution de secours: soit coudre moi même une housse polaire, soit combiner une housse de pluie avec des chaufferettes.
Enfin pour les optiques, la plus grandes attention au changement chaud - froid. donc laisser au maximum les caisses dans un même environnement.
Condensation des optiques et du matériel: de préférence, laisser le matériel dehors (en camion, ou voiture, ou même dans de grands sacs plastiques mis dehors, fermé pour qu'ils soient étanches)...et ne les ouvrir une fois que le matériel ait atteint la température ambiante... (la condensation restera sur les parois du sac)...
prévoir de demander à adapter la graisse des têtes et des bagues d'optiques avec un fluide résistant au froid.

Le piège de l'humidité:
En effet, même si l'humidité dans le froid est a priori plus pauvre que dans un environnement chaud, l’environnement de chauffe que génère la caméra met en danger de l'humidité qui pourrai se condenser à l'intérieur de la caméra et y être piégé.
De même, pour les optiques, les changements brutaux chaud - froid peuvent engendrer une condensation entre deux jeux de lentille (donc inaccessible directement);
Pour ça une parade: aucun contact avec la neige, ni connectique sur le sol, ni caisse par terre (si elle ne sont pas étanches)..
à penser aussi des sachets de silicagel dans les caisses d'optiques.

Une attention aussi particulière..aux calages, tirage, et collimation
En effet, avec les changement de température, le tirage optique variant en fonction de la température (si préparation de la caméra en intérieur pour tournage en extérieur par exemple, refaire systématiquement un tirage.

A prévoir aussi, la réflexion qu’entraîne la neige... et ses poussés dans des blancs éclatés.
Pour cela, je prévois de prendre des filtres UV, ND et Pola
Et en plus, régler les menus caméra en fonction: donc modifier les contrastes et veillez à la température de couleur (pour que la neige garde sa blancheur naturelle).

Voilà pour la préparation...

mercredi 27 janvier 2010

POINTER - choix de mise en scène en liens avec la photographie du film

Il est une mode en ce moment de créer une image avec la moins de profondeur possible... créer un flou artistique... d'où l'emploi plus que fréquent d'un kit 35mm ou du goût pour le canon 5D...
Mais pourquoi cette volonté de créer une image avec une si faible profondeur de champ s’arrête trop souvent à ce choix... sans une fois sur le tournage orienter un choix de pointage en relation avec l'assistant caméra!!
Eh oui... il ne m'arrive que trop peu souvent que le réalisateur ou le chef op viennent vers moi pour me dire:: dans ce plan ce qu'on veut montrer et mettre en valeur c'est plutôt ça... peux tu faire le point ici... puis quand viens cette action... tu passeras le point ici!!!
Non, bien souvent..; c'est nous... assistant caméra qui venons vers le chef op demander: dans la mise en scène.. qu'est ce qu'il est prévu de mettre en valeur... ma profondeur de champ me permet de voir ça et ça nette... mais je dois faire le choix entre pointer ici ou là!
Alors, bien souvent le chef op dit... fais comme tu le sens!!! (pourquoi alors se dédain d'un choix artistique qui a portant orienter le choix d'une telle caméra, ou d'un diaph si ouvert!!)... quelque fois, le chef op... conscient du choix de mise en scène... demande au réalisateur... que souhaites tu mettes en valeur.?
Alors, souvent je prend l'initiative de basculer le point sur tel ou tel point du plan... et demander au chef op ce qu'il en pense!!  Et c'est à ce moment qu'il à l'air content que l'on ai un avis sur la mise en scène et ses choix de photo!!
Et c'est lorsque un petit temps d’accalmie sur le tournage, que je peux discuter avec le chef op ou le réal sur mes choix de point par rapport à ma compréhension de la mise en scène du film..
Bien sur quelques fois... c'est pendant que le plan ce tourne... que l'acteur propose quelques choses (pas toujours prévu initialement) où l'on doit faire un choix!!!
Mais je dois dire que dans tout les cas, j'aime bien que le chef op ou le réal remarque mon choix de point et me dise... c'est bien ce que tu as fait au point...

lundi 4 janvier 2010

Tournage avec le Canon EOS 7D

lors d'un court métrage, j'ai tourné avec le nouveau photoscope de canon, le EOS 7D.
son ainé, le valoreu 5D, ayant fait beaucoup d'émul, j'étais enthousiaste à pouvoir travailler avc le 7D. le sachant pensé davantage pour la vidéo, j'en attendais beaucoup...
et je dois dire, qu'en qualité d'image, le rendu du 7D est tout à fait à la hauteur..
pour ce qui est de son utilisation... elle est intuitive.. puisse que l'on retrouve toute les commandes d'un reflex numérique classique... avec en plus une commande d'enregistrement vidéo spécifique (qui n'était pas encore présent sur le 5D)...
pour ce qui est de la prise en main, la légèreté de l'appareil permet de changer de décor sans de roulante derrière soi... un ou deux sac permettent de tranporter à la fois le 7D, les optiques, et les accéssoires!!
toutefois, si l'on veux faire des images sans les bougés de l'opérateur, il est indispensable de prendre une config épaule réelle.. parce que si l'appareil est assez léger en comparaisons avec une caméra, il n'en reste pas moins que sur la longueur du plan, le confort de l'opérateur est primordiale pour enregistrer une image cohérente.
pour ce qui de la profondeur de champ, on retrouve celle du 35mm, ce qui permet, si l'on souhaite, de travailler l'image et la mise en scéne en adaptant la mise au point sur la valeur qui nous intérresse...
et contrairement au 5D qui de part son capteur plus grand, enregistrer l'image avec une profondeur de champ parfois trop petite, ce qui pouvait dans certains cas géner dans l'image, l'oeil ne trouvant plus d'appui stable..et rendre l'image à ce point artificielle.

mon travail en tant qu'assistante caméra, et plus particulièrement en tant que pointeuse,



Loader sur un tournage en 35mm

Précédemment assistante caméra sur un court métrage d'animation en pâte à modeler en 35mm. J'avais déjà eu l'expérience du chargement de magasin 35mm sur ArriIII.

Cette fois ci, j'ai compris ce qu'était compris ce qu'était le loading. Deuxième assistante sur un long métrage autoproduit, nous tournions avec des chutes de pellicule récupéré sur de précédent tournages.
En fin de journée, j'ai comptabilisé le chargement de 29 magasins.
Nous tournions avec l'ancienne mais n'en moins célèbre Caméflex - caméra compatible 35mm et 16mm du temps de la nouvelle vague.

Premiers essais caméra seule

Appelé par mon 1er assistant caméra pour des essais caméra, pusiqu'il était ce jour là déjà en tournage sur un autre projet.
Aprés une nuit agitée, je visionné mentalement ma journée du lendemain - seule sur les banc d'essais. Je remettait mentalement toutes les fois où j'accompagné les assistants caméra à préparer chez les loueurs les fameux essais caméra.
Pour ces premier essais, j'avais pour mission de faire les essais caméra avec la REDone pour un clip musical.
La config assez simple REDone - pas de machinerie spéciale - mais avec un grand panel de focal différentes.
Ma méthode, bien préparer en amont cette journée d'essais. Et pour cela, je me suis fait un check-list des chose à faire pendant la journée.
Coller sur le mur au niveau de mon banc, je n'avais plus qu'à m'exécuter dans mes tâches avec ordre et dicipline.
Jusqu'à midi, tout me sembler pas trop mal se passer, tout avais l'air de ce passer dans les temps que je m'était programmer. Bien que toujours stréssé par ce temps qui s'écouler et le grands nombres de choses à faire.

Tournage sur Russian Arm avec la RED

Pour le tournage d'une publicité de voiture, nous devions tourner quelques plans avec un "ultimate arm" (= russian arm). Ces plans consister principalement à filmer la voiture soit en la précédant soit en la suivant.

Sorte de grue instalé sur une voiture, le russian arm permet de filmer des plans grues tout en suivant le véhicule pilote.
Tourné avec la caméra REDone, nous pouvions enregistrer de longue prise, et multiplier les prises sans être contraint de changer de magasin. En effet, nous avions fait le choix d'enregistrer les prises sur disques durs RED. Puisque le rouli du russian arm était fluide, l'enregistrement sur disuqe durs ne sauté pas (contrairement à ce que l'on peut quelques fois avoir lors de prise où la caméra est un peu secoué (ex hélico, ou quelque fois des plans à l'épaule).


ces deux photos n'ont pas été prise sur mon tournage.
(images issues d'internet)

dimanche 3 janvier 2010

Tournage en 16mm

Alors deuxième assistante caméra sur le tournage, j'était notamment responsable des rushes et du loading des magasins.